J'ai piqué l'idée sur un forum de Popnews.com. N'hésitez pas à laisser des commentaires et/ou vos tracklists.
Générique d'ouverture : Bohemian Like You - The Dandy Warhols
Réveil : Care of Cell 44 - The Zombies
Journée normale : Fit but you know it - The Streets
Tombé amoureux : Wicked Game - Chris Isaac
Coup de foudre : Fell in Love with a girl - The White Stripes
Scène romantique : Radio America - The Libertines
Scène d'amour/sexe : Pale blue eyes - The Velvet Underground
Scène de combat : Sexx Laws - Beck
Rupture1 : For No One - The Beatles
Rupture2 : I'm trying to break your heart - Wilco
Se remettre ensemble : Say Yes - Elliott Smith
Mariage : Wedding Song - Bob Dylan
Amour secret : We're Just Friends - Wilco
Tout va bien : Jumping Jack Flash - The Rolling Stones
Marcher dans la rue : My Patch - Jim Noir
Déprime : Black Eyed Dog - Nick Drake
Nostalgie : If You're Feeling Sinister - Belle & Sebastian
En conduisant : What Goes On - The Velvet Underground
Début de voyage : Trains to Brazil - The Guillemots
Coucher de soleil : Disaster - The Besnard Lakes
Nouvelles résolutions : Twin Cinema - The New Pornographers
Orage au loin / inquiétude : Dollars and Cents - Radiohead
Rage : Territorial pissings - Nirvana
Souvenirs : In My Life - The Beatles
Faire la fête : Key of C - Jim Noir
Soirée arrosée : Cigarettes & Alcohol - Oasis
Rentrer chez soi bourré : The Crystal Ship - The Doors
Longue nuit de solitude : Oh Lonesome Me - Neil Young
Votre mort : Léna - Bobby Lapointe (C'est mon joker, savais pas quoi mettre)
Votre suicide : Heroin - The Velvet Underground
Résurrection : Airbag - Radiohead
Générique de fin : Neighborhood #1 - Arcade Fire
mercredi 28 mars 2007
mercredi 21 mars 2007
CultNPop Podcast n°8
Podcast spécial BC Camplight, avec deux excellents titres pop :
Couldn't you tell et Hide, Run Away
Bonne écoute !
Couldn't you tell et Hide, Run Away
Bonne écoute !
BC Camplight, Jim Noir et les Chamallows
C'est en voulant écrire une critique dithyrambique sur Tower of Love, album ô combien mésestimé de Jim Noir, que j'ai découvert le géniallissime BC Camplight. Mêmes influences (Brian Wilson, les Zombies, les Beatles), même chapeau melon, même gout pour les pop songs bien foutues, et surtout une écriture d'une fluidité surnaturelle. Comme le souligne un article paru dans Chronic'art, la différence se situe principalement dans le fait que la musique de Jim Noir parait plus expérimentale (superposition des harmonies vocales façon Smile des Beach Boys) alors que les chansons sautillantes de Camplight lorgnent plus vers une perfection pop plus sobre (plus Revolver que Sgt Pepper's, moins psyché en somme).
Ce qui reste incroyable dans tout ça, c'est que l'un comme l'autre reste dans un relatif anonymat alors que leur musique dépasse largement la sphère des cramés Flaming Lips ou du surfait Sufjan Stevens.
Peu de succès donc pour ces artistes fabuleux, hormis l'honneur (?) pour Jim Noir de rythmer les gestes techniques des copains de Zidane dans une pub de la marque à trois bandes. Tower of Love, son premier LP sorti en 2006 (qui rassemble divers EP parus en 2005) est un fantasme de pop psychédélique, le chef d'oeuvre ultime à atteindre pour tous les acharnés du Sgt Pepper's. J'y reviendrai prochainement.
Le tour de force des deux albums réside dans la faculté de proposer des chansons simples et sucrées sans dégouter l'auditeur ni tomber dans les clichés FM. En plus imagé, c'est comme se caler la panse avec des chamallows tout en se bourrant de fraises tagadas, sans pour autant s'en dégouter. Rare.
Jim Noir myspace
BC Camplight Website
Peu de succès donc pour ces artistes fabuleux, hormis l'honneur (?) pour Jim Noir de rythmer les gestes techniques des copains de Zidane dans une pub de la marque à trois bandes. Tower of Love, son premier LP sorti en 2006 (qui rassemble divers EP parus en 2005) est un fantasme de pop psychédélique, le chef d'oeuvre ultime à atteindre pour tous les acharnés du Sgt Pepper's. J'y reviendrai prochainement.
Le tour de force des deux albums réside dans la faculté de proposer des chansons simples et sucrées sans dégouter l'auditeur ni tomber dans les clichés FM. En plus imagé, c'est comme se caler la panse avec des chamallows tout en se bourrant de fraises tagadas, sans pour autant s'en dégouter. Rare.
Jim Noir myspace
BC Camplight Website
vendredi 16 mars 2007
CultNPop Podcast n°7
Après une semaine sans Podcast, voici les trois derniers titres que j'ai envie de partager avec vous :
The Arcade Fire - "Keep The Car Running"
The Decemberists - "O Valencia"
The Besnard Lakes - "Disaster"
J'ai déjà parlé ici du dernier album des fabuleux Arcade Fire, je suis toujours scotché à cette chanson "Keep the Car Running".
"O Valencia" a une mélodie pop évidente, c'est léger, printanier et entrainant. Quant à "Disaster" des Besnard Lakes, je vous conseille simplement de monter le volume à partir de la deuxième minute, c'est sans doute mon plus gros coup de coeur. On y entend des Beach Boys détraqués, des guitares écorchées façon My Bloody Valentine...
To Be Played at Maximum Volume !
The Arcade Fire - "Keep The Car Running"
The Decemberists - "O Valencia"
The Besnard Lakes - "Disaster"
J'ai déjà parlé ici du dernier album des fabuleux Arcade Fire, je suis toujours scotché à cette chanson "Keep the Car Running".
"O Valencia" a une mélodie pop évidente, c'est léger, printanier et entrainant. Quant à "Disaster" des Besnard Lakes, je vous conseille simplement de monter le volume à partir de la deuxième minute, c'est sans doute mon plus gros coup de coeur. On y entend des Beach Boys détraqués, des guitares écorchées façon My Bloody Valentine...
To Be Played at Maximum Volume !
vendredi 9 mars 2007
En vrac !
En pleine phase de découverte, albums fascinants sur le grill :
Bon, déjà, Neon Bible des christiques Arcade Fire. Pour l'instant je ne le trouve pas si boursoufflé que ça. Certaines chansons se détachent du lot, dont Keep The Car Running. C'est dans ce genre de fulgurance que les Arcade Fire me plaisent, c'est rapide, puissant, mélodique, imagé. Leur musique à un énorme potentiel pour intégrer des BO de films, et pas forcément ceux de Tim Burton. Cette chanson est une ode à la vie. La cadrage remonte doucement de la route - le tempo s'accélère - vers une voiture roulant à fond dans une ligne droite, soleil, champ de blé, impression de chaleur, fin de journée d'été... Pour une fois le groupe a mis la fanfare au placard et ce n'est pas plus mal, le son gagne en légèreté, tout parait plus spontané. Le reste de l'album m'est encore en grande partie inconnu mais je chroniquerai tout ça dès que j'en aurai fait le tour.
Album du mois dans Rock&Folk, The Besnard Lakes are the Dark Horses n'est pas un groupe Parisien de revival Rock. Non. C'est même tout l'inverse. Dieu merci, la rédaction du mensuel de Manoeuvre bénéficie toujours des critiques avisées Jean-Vic Chapus et Basile Farkas. Cela dit, le disque est décrit comme un Ovni sonique effrayant et, en définitive, il ne l'est pas vraiment. Psyché ouais, barré, totalement. Faut oser se la jouer Beach Boys époque Pet Sounds sur un titre nommé Disaster! Et bien qu'on ait aussi un Devastation, nous ne sommes pas en présence d'un coffret de B-sides de Joy Division. Alors j'avoue, je reste très en surface mais je n'ai pas encore assez écouté l'album pour vous faire partager des impressions moins superficielles. Bon feeling cependant.
En boucle dans l'IPod : Wilco (il faut absolument que je chronique Yankee Hotel Foxtrot) et Of Montreal principalement.
Bon, déjà, Neon Bible des christiques Arcade Fire. Pour l'instant je ne le trouve pas si boursoufflé que ça. Certaines chansons se détachent du lot, dont Keep The Car Running. C'est dans ce genre de fulgurance que les Arcade Fire me plaisent, c'est rapide, puissant, mélodique, imagé. Leur musique à un énorme potentiel pour intégrer des BO de films, et pas forcément ceux de Tim Burton. Cette chanson est une ode à la vie. La cadrage remonte doucement de la route - le tempo s'accélère - vers une voiture roulant à fond dans une ligne droite, soleil, champ de blé, impression de chaleur, fin de journée d'été... Pour une fois le groupe a mis la fanfare au placard et ce n'est pas plus mal, le son gagne en légèreté, tout parait plus spontané. Le reste de l'album m'est encore en grande partie inconnu mais je chroniquerai tout ça dès que j'en aurai fait le tour.
Album du mois dans Rock&Folk, The Besnard Lakes are the Dark Horses n'est pas un groupe Parisien de revival Rock. Non. C'est même tout l'inverse. Dieu merci, la rédaction du mensuel de Manoeuvre bénéficie toujours des critiques avisées Jean-Vic Chapus et Basile Farkas. Cela dit, le disque est décrit comme un Ovni sonique effrayant et, en définitive, il ne l'est pas vraiment. Psyché ouais, barré, totalement. Faut oser se la jouer Beach Boys époque Pet Sounds sur un titre nommé Disaster! Et bien qu'on ait aussi un Devastation, nous ne sommes pas en présence d'un coffret de B-sides de Joy Division. Alors j'avoue, je reste très en surface mais je n'ai pas encore assez écouté l'album pour vous faire partager des impressions moins superficielles. Bon feeling cependant.
En boucle dans l'IPod : Wilco (il faut absolument que je chronique Yankee Hotel Foxtrot) et Of Montreal principalement.
jeudi 8 mars 2007
CultNPop Podcast n°6
Trois titres qui sentent l'arrivée des beaux jours, avec tout d'abord une pop song très 60s des Of Montreal. Puis on revient progressivement chez nos amis anglais avec un reggae signé Pete Doherty et un classique du vendredi : Friday I'm in Love des Cure.
Lysergic Bliss - Of Montreal
I Wish - Babyshambles
Friday I'm in Love - The Cure
Bonne écoute !
Lysergic Bliss - Of Montreal
I Wish - Babyshambles
Friday I'm in Love - The Cure
Bonne écoute !
mardi 6 mars 2007
CultNPop Podcast n°5
Aujourd'hui on commence avec les rigolos Dandy Warhols - Smoke it, chanson délirante et purement jouissive dans l'esprit Thirteen Tales from Urban Bohemia.
On enchaine avec un titre des Cold War Kids, We used to vacation, sans doute le plus pop de l'album. La voix n'est pas sans rappeler celle de Jack White. La transition est toute faite pour le troisième titre, des Raconteurs, Yellow Sun (chanté également par Brendan Benson).
On enchaine avec un titre des Cold War Kids, We used to vacation, sans doute le plus pop de l'album. La voix n'est pas sans rappeler celle de Jack White. La transition est toute faite pour le troisième titre, des Raconteurs, Yellow Sun (chanté également par Brendan Benson).
Bonne écoute !
lundi 5 mars 2007
CultNPop Podcast n°4
American Indie Pop encore, avec :
Till The End Of Time - DeVotchka (extrait de la BO de Little Miss Sunshine)
Communist daughter - Neutral Milk Hotel
War On War - Wilco
Till The End Of Time - DeVotchka (extrait de la BO de Little Miss Sunshine)
Communist daughter - Neutral Milk Hotel
War On War - Wilco
dimanche 4 mars 2007
CultNPop Podcast n°3
Voici les trois titres du podcast 3 de CultNPop :
Sufjan Stevens - The Henney Buggy Band
Belle&Sebastian - Funny Little Frog
Ben Kweller - War
Bonne journée et Bonne écoute !
Sufjan Stevens - The Henney Buggy Band
Belle&Sebastian - Funny Little Frog
Ben Kweller - War
Bonne journée et Bonne écoute !
jeudi 1 mars 2007
CultNPop Podcast n°2
Alors aujourd'hui :
Dry the rain - The Beta Band
Deadweight - Beck
A Quiet Man - Jim Noir
Dry the rain - The Beta Band
Deadweight - Beck
A Quiet Man - Jim Noir
Podcast CultNPop n°1
Afin d'égayer vos journées, je mets un place un système de Podcasts musicaux journaliers, sorte de compil' de trois titres pop que vous pourrez télécharger chaque matin sur votre Ipod.
Aujourd'hui :
My british tour diary - Of Montreal
Picture book - The Kinks
Summerteeth - Wilco
My british tour diary - Of Montreal
Picture book - The Kinks
Summerteeth - Wilco
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